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La confiance |
Pour le nouveau né
Le nouveau-né sans défense expérimente tout de suite qu'il a besoin des autres,
des adultes. D'eux, il attend tout. Si ils lui donnent la chaleur, si
ils le couvrent des nécessités basiques et affectives, et si ils se
montrent le réconfortant, l'enfant évoluera avec une confiance en lui-même et dans les autres. Au contraire, les enfants qui sont refoulés et punis dans des formes arbitraires et ne sentent pas l'affection, deviennent adultes incertains et soupçonneux.
Aussi cette évolution se remarque dans beaucoup d'espèces animales: le chien qui a été maltraité est fuyant et il montre tout de suite les dents.
S’ils
lui ont répétés des phrases comme: « tu ne sers à rien, tu l'as fait
mal, tu es maladroit, tu es méchant» il en finira avec son estime de soi et il verra les autres comme source d'insatisfaction. Il est clair qu'à l'inverse, l'extrémité opposée n’est pas bonne:
il n'est pas bon de dire que tout est de rose, car nous nous
tromperions aussi. Car le monde est dur et il y a la douleur, la
méchanceté et l'injustice.
Chez une personnalité équilibrée
Une personnalité équilibrée, l'individu sûr de lui-même et essentiellement adapté à son environnement, se forme quand il est socialisé montrant
que la réalité est complexe, qu’elle est source de satisfactions et de
souffrances, et que les êtres humain peuvent être capables de conduites
solidaires et égoïstes, du bien et du mal.
Quand
l'enfant fera ses premiers pas il écoutera de son père et de sa mère
des paroles de courage et de sécurité; expressions qui lui transmettent
la confiance: "n’aie pas peur", "je suis ici," « en avant, ca va
aller». Et, alors, stimulé et avec un sourire, il commencera à voyager
et il verra qu'enfin, à la fin, il retrouvera les bras ouverts et
protecteurs de ses parents. Petit à petit, étape par étape, coup de
pédale après coup de pédale, faire confiance aux autres et faire en
sorte que la foi qui est mise n'est pas déçue, nous devenons des
personnes qui peuvent évoluer chez les adultes qui savent vivre en
communauté.
Avec les amis
Nous considérons comme des amisceux
à qui nous pouvons faire confiance; nous savons s’ils le sont vraiment
ou pas encore. Par ailleurs, il y a les connaissances ou les camarades;
avec ceux-ci nous rions et nous faisons la fête quand la situation est
favorable pour tous, mais quand il y a des difficultés il est facile
que chacun aille chez soi: l'égoïsme émerge.
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