Cette question vient le plus souvent des
femmes. Face à des pratiques, qui les rebutent ou les dégoûtent
(fellation, rapport anal le plus souvent), doivent-elles céder aux
propositions de leur partenaire ? Au nom de l'amour, doivent-elles tout
accepter ? De plus, l'appétit sexuel est parfois plus important chez
l'un des partenaires. Si l'homme désire plus fréquemment faire l'amour
que sa partenaire, doit-elle s'y soumettre ?
Dans une relation amoureuse, les rapports sexuels s'accomplissent dans
la recherche d'un plaisir partagé. Bien sûr dans le respect des désirs
et des limites de chacun des partenaires, la femme pourra être
encouragée à découvrir de nouvelles pratiques sexuelles. Mais s'il
arrive qu'elle éprouve une répulsion trop importante pour passer à
l'acte, il convient de se limiter à des pratiques appréciées par les
deux partenaires ; sans quoi, la qualité des relations pourrait s'en
trouver affectée.
Dans
un état d'excitation sexuelle important certaines barrières peuvent se
lever, mais si elles subsistent, l'obstination d'un des partenaires
peut entraîner la disparition du désir sexuel de l'autre...
Le
problème de la fréquence des rapports sexuels dans le couple peut
également devenir un sujet conflictuel, après quelques années de vie
commune. Deux cas peuvent alors se présenter :
- Par concertation (implicite le plus souvent), le couple trouve un rythme commun ;
- Mais souvent, l'homme est plus demandeur. La frustration, qu'il éprouve peut être à l'origine de tensions à l'intérieur du couple, parfois difficiles à vivre.
Que faire ?
Tout d'abord, les besoins sexuels de chacun sont conditionnés par :
- Des facteurs permanents, dont les origines sont propres aux processus psychiques de l'individu ;
- Des facteurs plus immédiats comme la fatigue, les soucis, le stress, la maladie, la mésentente dans le couple, etc.
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